Cent ans d’Alcazar

À l’occasion du centenaire du cinéma l’Alcazar de Tanger, Nour-Eddine Saïl revient sur le rôle qu'a joué ce lieu dans la naissance de son amour du cinéma. De La Terre des Pharaons aux comédies de Cantinflas, en passant par les drames de Niazi Mustapha, promenade dans l'enfance d'un cinéphile.

Par

Bâti en 1913, l'Alcazar (qui compte près de 300 places) est au départ un théâtre. Avant d'être transformé, en 1917, en salle de cinéma Crédit: DR

À l’instar d’un Dante qui se serait trompé de siècle, j’avais organisé mon Tanger cinématographique, au début des années 1960, en cercles non concentriques liés entre eux, un peu à l’image de l’emblème olympique, de sorte que de l’un à l’autre,…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter

Rejoignez la communauté TelQuel
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous

Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer